Politiquement correct, Wokisme, bien pensance..Assiste-t-on au démantèlement de la France ?
Décryptage des rouages insidieux d'un système visant à imposer une idéologie mondialiste d'assimilation sous couvert de bien pensance et de politiquement correct.
BILLETS D'OPINION
Sébastien Hervé
10/9/202314 min read
Raciste! sexiste! homophobe ! Ces mots résonnent dans notre tête comme un leitmotiv agaçant. Qui n’a pas subi, de près ou de loin, ces accusations expéditives de la part de personnes voulant se faire mousser, sentant déjà qu’une auréole d’ange etait entrain de leur pousser au dessus de la tête. C’est comme ça que beaucoup d’entre nous existent, en s’enfonçant dans une bien-pensance chevronnée qui au final ne dessert pas le fameux « vivre ensemble », tant plébiscité par nos politiques. Bien vivre ensemble, c’est une chose. Mais ce n’est pas en s’enfermant dans les carcans du politiquement correct et du racisme positif que notre pays pourra éradiquer les scissions entre les diverses communautés qui composent notre hexagone. Ces comportements provoquent au final l’inverse du but recherché : fédérer les français, peu importe leurs ethnicités, leur religion, leur mode de vie ou leur sexe (en tout cas , c'est l'objectif de nos donneurs de leçon). Malheureusement la nature humaine fait qu'on ne peut pas atteindre cette utopie. Nous sommes ainsi faits. Et encore moins quand une assimilation migratoire nous est demandée dans un temps record. C'est une profonde hérésie de penser le contraire. Je citerai d'ailleurs Michel Poniatowski, ancien homme politique français qui disait ceci : « C’est une tragique illusion que de vouloir faire coexister dans un même pays des communautés ayant des civilisations différentes. L’affrontement est alors inévitable. Les grands conflits ne sont pas des conflits de race, mais de croyance et de culture. »
Le Girl Power, ou comment reproduire en inversé le schéma de domination masculine.
Si en amont, la justice faisait déjà son travail pour pénaliser la masse la plus « animale » des hommes, si une éducation plus claire était faite dès l’enfance pour apprendre à nos chers enfants l’égalité (réaliste) entre les sexes, nous n’en serions peut-être pas là. La faute à notre société? La faute aussi à nos chers publicitaires, qui, sans cesse, apprennent aux petites filles que l’amusement, c’est de s’occuper d’une cuisine fictive et d’un bébé en plastique dès le plus jeune âge? Pour en rajouter une couche, d’autres publicitaires dépeignent également les femmes comme des objets de consommation en les mettant dans des contextes de nudité et de fragilité extrêmes. Cette manipulation mentale attaque clairement le cerveau de beaucoup de nos homologues masculins. Ces derniers se sentent légitimes d’aller jusqu’au au bout de leurs démarches de harcèlement malsaines. De là à les excuser ? pas une seule seconde… L’être humain est libre de ses choix et de ses actes. Il est donc seul responsable des conséquences qui en découlent. Cependant, le féminisme a perdu sa fonction première qui était de donner le droit aux femmes d'exister et de s'extirper d'un système les mettant en état de fragilité physique et mentale. Force est de constater que les chiennes de garde du féminisme chevronné, adeptes de joutes verbales assassines visant a décrédibliser le "masculin" dans tout ce qui fait son essence , n'ont pas réussi à aider à combattre le fléau numéro 1 qui sévit en France : les féminicides.
Plutôt que concentrer toute cette haine sur ces faits d'urgence, il était bien plus important de s'attarder sur des futililités telle que l'écriture inclusive n'est ce pas? Pitoyable, mais prévisible. Dans cette société en déconstruction (oui, le terme va souvent revenir telle une rengaine dans cet article), on constate un mode opératoire bien ficelé dont le fondement principal est de réécrire sans construire. Une paranoia ambiante qui consiste à vouloir changer toute rêgle sous prétexte qu'elle provient d'une époque révolue. On invente tout un tas de termes visant a culpabiliser l'homme dans son rapport avec la femme : le manspreading, mansplaining etc... autant d'anglicismes sortant du cerveau étriqué d'hystériques souhaitant museler tout ce qui est masculin. Chaque action de ces méchants bourreaux remplis de testostérone est passée au crible pour être tuée dans l'oeuf, à coup de masturbation mentale.
A titre personnel, je n'adhère pourtant pas au principe de la virilité masculine telle qu'on nous l'enseignait dans les productions hollywoodiennes et autres références un peu ringardes (les exemples ne manquant pas). Mais pour autant, je combats cette inversion de processus qui est la porte d'entrée à une dislocation identitaire visant à perturber les repères de tout un chacun sous couvert d'un pseudo éveil des consciences.
Parlons maintenant du sacro-saint racisme. Inutile de rappeler que la richesse « financière » de notre pays s’est constituée aussi en partie sur le dos de l’Afrique. Avec ces multiples pillages de ressources successifs, Il n'est donc pas "étonnant" que notre pays subisse une immigration massive d’une population qui part à la chasse au trésor "perdu" en Europe (C'est peut être aussi pour celà que l'on a progressivement remplacé dans les conversations courantes et autres investigations "journalistiques", le terme de "réfugié" par celui de "migrant" (terme très conversé mais néanmoins plebiscité, même dans les médias de masse). Ce constat s'applique à de nombreux pays de l'Occident. Nous allons néanmoins nous concentrer sur notre « douce » France. La France, comme le reste du monde occidental, a désharmonisé la planète. Les ressources matérielles et immatérielles ayant progressivement transité depuis plusieurs siècles vers les pays dits "développés" (terme qui devient galvaudé au vu du changement de la situation géopolitique actuelle, mais c'est un autre sujet). Dans ce contexte, certaines communautés issues des vagues migratoires actuelles et passées qui peuplent notre Hexagone revendiquent de multiples réparations qui sont parfois légitimes. En revanche, certains comportements, attitudes et positions victimaires peuvent faire culpabiliser une population qui n’est pas responsable de leur maux ( et c'est de ceux-ci dont je veux me faire le porte parole) et dont seuls les politiques de pillage successives sont responsables. Dans ce contexte, le mouvement anti-raciste remplace le féminisme. Il prend le relais pour fliquer à chaque coin de rue la moindre phrase qui pourrait être synonyme de non respect des communautés raciales. La manipulation mentale fonctionne bien. Le résultat est le même que pour le féminisme. Face à ce système de fliquage dictatorial, les caucasiens de notre pays commencent à ressentir une certaine animosité envers les autres communautés récemment implantées sur notre territoire.
Vous avez dit exubérance ?
Et l’homophobie dans tout ça ? Et La Transmophobie ? même principe ! Même schéma ! On flique, on remplace un mouvement anti quelque chose par un autre. On culpabilise. On crée la Gay Pride et son exubérance. On crie les slogans : hétéro c’est rétro etc. Mais, pour autant, est-ce en survalorisant les communautés qu'on crée cet électrochoc tant attendu chez les masses ? c’est un peu comme le Girl Power chez les femmes. A quoi celà sert-il de défendre des injustices en se mettant en position de supériorité? Au final, on en revient à chaque fois au même problème. On prétend vouloir lutter contre les stéréotypes, mais on en crée de nouveaux, totalement inversés. Le problème, c’est que pour agir sur les injustices, ce procédé n’est pas efficace. Je n’ai encore pas les réponses concrètes à la question : comment ? Mais je sais que la manière a laquelle on prétend défendre certaines injustices n’est pas compatible avec notre société. On finit par créer une véritable paranoïa communautaire, enfermant encore plus les gens dans leurs croyances et dans la légitimité du bien fondé de leurs pensées, qu’elles soient nauséabondes ou pas.
Mais avant de revenir sur cet aspect civilisationnel, j'aimerais parler du féminisme. Même si ce thème à l'air éloigné de l'introduction de cet article, on se rend finalement compte que la deconstruction qu'on nous impose, repose sur plusieurs piliers bien imbriqués entre eux. Le féminisme, mouvement pourtant à la base légitime et fondé sur les cendres d’une société patriarcale en perte de vitesse, a commencé à écrire ses lettres de noblesse durant la deuxième moitié du XXème siècle (en ce qui concerne la deuxième vague). Il fallait une cassure dans les foyers, où l’homme était trop souvent cantonné au rôle de chef suprême. Dans ce microcosme familial, la femme n’avait pas vraiment droit de citer. Elle se trouvait cantonnée à des tâches d’entretien et de soutien familial. Des tâches très importantes, mais qui ne permettaient pas aux femmes de mettre en valeur leur plein potentiel en dehors de leur foyer, ni de s’affranchir d’un modèle qui les contenaient dans une cellule fermée. Les choses ont beaucoup changé en quarante ans. Les femmes peuvent se libérer beaucoup plus facilement de cet échec et mat social. Cependant, les inégalités subsistent au travail. Les relents d’un sexisme existant depuis les débuts de l’humanité provoque toujours les barrières que nous connaissons aujourd’hui. La faute aux hommes qui ne veulent pas lâcher leur bout de gras ? la faute aux féministes qui, à force de fliquer le machisme, décrédibilisent ce mouvement ? Au final, les deux sont fautifs. Le harcèlement de rue, les inégalités professionnelles et les violences conjugales continuent d’être des fléaux. Ceux et celles qui prétendent vouloir l’éradiquer ne cessent parfois de partir dans des stéréotypes anti-masculins qui créent de plus en plus de culpabilité, de rage, et d’agacement parmi les « mâles » de notre pays. Les deux camps s’opposent dans une guéguerre bipolaire malsaine qui perdure.
Pleurniche, Acte 1...
On nous alerte activement du développement (de toutes pièces?) d'un "supposé" nationalisme de plus en plus rampant dans nos contrées occidentales. Vous savez, ce fameux repli sur soi qu'on nous jette encore à la figure sur un ton moralisateur. N'est-ce pas plutôt un instinct de préservation d'un peuple face à des politiques agressives de déstabilisation ? Le Progressisme, le Wokisme... tous ces termes utilisés actuellement pour pointer du doigt les cancers multiples qui consistent à partir en croisade contre une société de "blancs" cisgenrés privilégiés (la fameuse paranoia qui a toujours autant le vent en poupe). Partant de là, on monte de plus en plus dans l'escalade des indignations à géométrie variable. On se retrouve avec des pans entiers d'un pays en guerre civile pour dénoncer la mort de Nahel, jeune homme français d'origine algérienne fauché par des policiers à l'aube de sa vie. Sa situation géographique et sociale est elle aussi utilisée comme prétexte à une nouvelle crise identitaire. Enfant d'une cité de Nanterre, il cristallise par son statut et sa double nationalité cette escalade vindicative à l'encontre de l'oppresseur français et de ses institutions injustes et racistes. Encore une fois, on victimise un individu pour contester un système sans s'attarder sur les "faits". Personne ne mérite de mourir à l'aube de sa vie. Pour autant, que savons nous réellement (en tant que simple spectacteur lambda) sur ce qu'il s'est passé. On met arbitrairement en garde à vue sans sommation des officiers de police malgré le fait que le jeune homme n'était peut-être pas tant que ça l'ange que decrivait "Môssieur" Kilian Mbappé, qui s'est permis d'y aller de son petit Tweet. Non pas que les sportifs n'aient pas le droit de s'exprimer, mais les investigations sur cette affaire ont bien montré que le jeune homme ayant succombé à ses blessures, a souvent flirté avec la ligne rouge en amont de ce qui s'est passé la nuit du drame (une disparition brutale dont sa famille ne se remettra jamais) . Je ne souhaite pas casser du sucre sur son dos. Mon but étant simplement d'établir encore une fois la machination qui opère à nouveau (Attention, je ne défends pas non plus les forces de l'ordre, bien au contraire. La gestapo de l'époque COVID et les expéditions punitives gratuites contre certaines manifestations et leurs revendications récentes suffisent à ne pas me faire visualiser les choses de manière binaire).
Cette affiche me rend perplexe. Ce ne sont décidémment pas les mêmes profils qu'on a vu sur les bateaux qui stationnent à Lampedusa...
Notre pays, comme notre monde occidental fait dans la déprogrammation mentale. Un processus qui pousse à l'assimilation massive de dogmes et de rêgles destinées à définir les grandes lignes du mondialisme version 2.0. Le problème, c'est que les trois phénomènes principaux que j'ai traités dans cet article ne sont pas compatibles entre eux. Mais dans un même temps, ces trois thèmes font partie d'un vaste consensus de deconstruction visant à inverser les normes en vigueur il y a encore quelques décennies. C'est pourtant dans ce bourbier paradoxal qu'on veut nous expliquer ce qu'est le progrès. Même en partant du principe que l'idée de ce mélange peut être une forme de "richesse", il y'a des paramètres à prendre en compte. Je finirai donc sur une métaphore culinaire : Si on vous dit que mélanger l'eau et l'huile, c'est le "Progrès", pas sûr que ces simples mots transformeront par magie votre mixture...
La Tête de Gondole...
Ces deux victimes (Nahel et Adama) ont suscité un émoi sans précédent dans le pays. Est-ce moral qu'on fasse d'un délinquant un héros ? A l'inverse, quand les français(e)s sans histoire un peu trop blancs et plus lisses sont victimes de crimes gratuits et effroyables, l'indignation devient subitement moins fédératrice? Soit on reste presque impassible, soit on va chercher des motifs de culpabilité aux familles concernées. Peut-on m'expliquer quel est ce deux poids deux mesures scandaleux? Mon raccourci déplait? Ce n'est pas agréable de goûter à sa propre médecine n'est-ce pas? Je ne validerai jamais l'assassinat de Nahel et d'Adama. Rien n'autorise à tuer de sang froid. En revanche, et à nouveau (a croire que je vais devoir utiliser sans cesse les mêmes termes, comme des leitmotiv), cette indignation à géométrie variable est effarante. On continue avec les attaques contre l'inauguration qualifiée de "franchouillarde" de la coupe du monde de Rugby par certaines élites politiques de gauche ou médias nationaux ? Tous ces faits d'actualités sont des symptômes d'une vaste maladie qui gangraine notre pays jusqu'à la moelle. Chaque peuple a besoin d'un socle pour exister. Il a besoin de se réunir autour de valeurs lui permettant de s'identifier, de se sentir exister. On castre les français originels ( j'évite le terme "de souche" trop clivant) , on les humilie, on les culpabilise, on les moralise (ou on les oublie), mais on sait se rappeler qu'ils existent pour leur donner des piqures de rappel constantes. Le but étant de leur faire ingurgiter des discours débilitants, parfois abscons, pour les forcer à adhérer à une vision utopique d'un monde où tout un chacun se "doit" d'accueillir l'autre, de fusionner avec l'autre, sans restriction et sans suspicion. C'est ça le progrès ! mange! Avale tout! N'en perds pas une miette! .Et surtout, tais-toi !
Encore une fois, cette bien-pensance nationale teintée d’hypocrisie va à l’inverse de ce qu’elle prétend combattre. Demandez donc à Willy Sagnol, qui s’est fait lyncher sur sa vision du football il y’a quelques années, ce qu’il en pense. Tout celà pour en arriver progressivement à une deconstruction d'un pays, d'une mentalité, d'une culture pour le supposé bien fondé du vivre ensemble. Le "vivre ensemble", terme fourre-tout par excellence. Notre société mondialiste a eu un impact extrèmement délétère sur ce que doivent être les fondations d'une nation. Son idéntité, ses références, sa culture, ses valeurs et ses croyances. Le but ici n'étant pas d'établir si ces valeurs sont bonnes ou mauvaises. Mais sans idéntité propre, on perd le premier rouage de la cohésion d'un pays. Quand on quitte brièvement nos bases et qu'on s'intéresse à certains pays qui composent l'union Européenne, il est bon de citer l'exemple particulier de la Pologne. En effet, ce pays, maintes et maintes fois montré du doigt par Bruxelles, avait décidé de rester hostile à l'accueil de migrants issus de pays à confession musulmane. Pourtant, au plus fort de la guerre en Ukraine ( et même plusieurs années auparavant), ce pays accueillait déjà des millions d'Ukrainiens. C'est peut être la solution : Etre une terre d'asile nécessite de prendre en compte de nombreux paramètres, notamment identitaires et religieux. En se concentrant sur l'accueil de réfugiés ou de migrants dont le mode de vie est en corrélation avec leur culture, la Pologne permet à son peuple de garder une certaine harmonie et evite les scissions communautaires. Un gage de réussite quand elle se compare à ses voisins qui ont choisi d'autres "alternatives". En revanche, en ce qui concerne le droit des femmes, notamment le droit à l'avortement, la Pologne recule son pion d'une case.
Cependant, et en parallèle à ce fait divers, il a aussi été relaté l'histoire du petit Emile. Cet enfant d'une famille sans histoire, qui a disparu dans la nature. Les médias se sont attaqués aux parents du garçon. Leurs racines catholiques ont été la cible de la foudre médiatique. comme ci avoir conservé ses valeurs traditionnelles était signe de suspicion. Cette famille "de droite", "traditionnelle", "sectaire", pas ordinaire...Les qualificatifs abjects et fascistes (oui, à mon tour...) ne manquant pas pour les qualifier, et ceci en toute impunité par la journaliste Bernadette Sauvaget. Bref, Je ne prétends pas que cette famille doive être automatiquement lavée de tout soupçon. Là encore, nous n'avons pas tous les éléments pour pouvoir le faire. Mais pourquoi subit donc-t-elle un Nahel inversé? A quel niveau de crasse mentale en est-t-on rendu quand on attaque frontalement une famille qui vient de perdre son enfant? Et là, en l'occurence, le pauvre gamin n'a pas disparu pour aller faire quelques "rodéos urbains" ou autres activités nocturnes divertissantes... Nahel et Emile, deux histoires qui n'ont rien en commun, mais quand on s'attarde au traitement des individus en fonction de leurs origines et de leurs croyances, on aime décrédibiliser davantage ceux qui ont le malheur d'appartenir à la france "d'antan". Comme si elle n'était plus légitime à exister. Comme si cette France était dangereuse et obligatoirement responsable d'une manière ou d'une autre des affres qu'elle subit. On peut également ajouter l'affaire Lola dans la balance. Je résume brièvement : Lola, Jeune fille de 12 ans qui a été séquestrée, violée, et tuée lors de son retour au domicile (dans un appartement voisin du XIX eme arrondissement) par une ressortissante algérienne sans papiers nommée Dahia B. (Oui, il ne faut pas trop dévoiler d'informations, cela serait discriminatoire n'est-ce pas?). La suspecte ayant été examinée n'avait à priori pas de troubles psychiatriques l'empêchant de subir un procès en bonne et due forme. Il ne faut surtout pas oser s'attaquer à la politique migratoire française qui, a cause de son côté idéologique, transforme le pays en passoire à criminalité. Au final, même si cette affaire a été relatée dans les médias, sa visibilité est minime si on la compare à l'histoire de Nahel. Je suis persuadé que tout le monde ne connait pas forcément l'histoire de Lola. En revanche, tout le monde (ou presque) à entendu parler de Nahel. Dans quel monde vit-on pour que les crapules (petite référence également à l'affaire Traoré), qui certes ne méritaient pas la mort de façon expéditive, soient érigées comme des victimes bienfaisantes, à la limite des termes bibliques (le terme d'ange ayant souvent été utilisé pour Nahel).
