La Santé, Un Marché très lucratif.
Analyse des dérives du système de santé actuel et ses conséquences dramatiques sur l'humain.
BILLETS D'OPINION
Sébastien Hervé
2/29/20248 min read
Depuis bien trop longtemps, on légitime à tour de bras les traitements médicamenteux les plus destructeurs. Les praticiens prétendent les rendre incontournables, légitimant le fait qu’ils combattent une myriade de pathologies physiques et mentales. Pourtant, ces traitements ont l’air d’être avant tout responsables de l’aggravation de ces mêmes pathologies, voire même de leur recrudescence. Le raccourci est certes simpliste, mais comment expliquer ce lien de corrélation entre notre "réputation" fondée de pays ayant le plus de cas de dépression au monde, et en même temps, être celui qui consomme le plus de médicaments pour palier à cette même pathologie? De plus, et même si je ne nie pas que ces médicaments peuvent parfois apporter un bonus non négligeable pour soigner certains troubles, dans la plupart des cas, le facteur bénéfice-risque est très défavorable. Cet état de fait nécessite qu'on s'attarde également à permettre aux médecins et autres spécialistes de la santé de proposer des voies plus alternatives. Malheureusement, ces dernières sont souvent marginalisées, leur crédibilité souffrant des dérives de certains gourous autoproclamés, mais également de lobbys pharmaceutiques qui s'engouffrent dans la brêche, saisissant cette aubaine.
Des effets secondaires sont cachés dans l'image ci-dessus. Sauriez-vous les retrouver?
Dans ce contexte, les médicaments dits "chimiques" ont une place de choix. Ils sont disponibles en quantité faramineuse (quoique, ces dernières années, ces derniers rentrent dans la danse des pénuries diverses et variées) et utilisés pour masquer l’incompétence (impuissance ?) de beaucoup de médecins face à des pathologies qui atteignent un niveau pandémique. Nos amis les Prozac, les Zoloft, les Laroxyl, les Tramadol (qui fut dans la tourmente il y'a quelques années) ont la belle vie. N'oublions pas non plus le Médiator qui a subsisté jusqu'en 2009 avant son interdiction. Il est bien plus simple de mettre les patients en salle d’attente que de les guérir réellement. Ce n’est pas bon pour le business. On se retrouve avec une population abandonnée dans ce brouillard de molécules. Rappelons-nous l'importance des conflits d'intérêts visant les lobbys (mentionnés au dernier paragraphe) au sein de la profession médicale (avec à la clé, plus de 3,5 milliards d'euros versés aux professionnels de la santé). On pourrait se contenter de s'arrêter là. Désormais, ce sont d'autres pans de la santé qui sont également passés au crible. Dans cette surenchère effarante, c'est aussi la crédibilité de la vaccination qui est également touchée. Non pas qu'elle soit illégitime de manière globale. Le sujet est trop complexe pour se positionner. Cependant, la pandémie récente de la C.O.V.I.D. 19 a rabbatu les cartes. On a assité a un vrai défilé dans la course à la productivé entre laboratoires. Face à l'urgence de la situation d'il y'a trois ans maintenant, ces derniers ont vu comme une aubaine cette manne financière qui se présentait. Le tout sous l'oeil bienveillant de gourvernants mondiaux ayant tout fait pour imposer cette vaccination de manière directe ou indirecte. Protégé par de tels boucliers, l'escalade a pu se poursuivre. Il fallait désormais également créer une nouvelle carte de fidélité pour se protéger du virus originaire de Wuhan. Le but n'est pas de décortiquer la gestion de cette pandémie. Mais ces actions coup de poing montrent une fois de plus la volonté farouche de niveler la santé par le bas. C'est tout notre système de santé global qui est à refonder. Les abus et autres injonctions ont perverti le soin apporté à l'individu et la gestion de sa douleur à tous les niveaux.
Notre système de santé moderne est perverti à tous les niveaux. Insidieusement, on décrédibilise les méthodes dites naturelles et de reconstruction en leur donnant le moins de crédibilité possible. Ce n'est pourtant pas le cas en Allemagne et dans d'autres pays d'Europe (ce qui permet d'avoir un peu plus de recul). Notre système de santé, vu comme un modèle par de nombreux pays, est à deux vitesses. Pourquoi rembourser certaines pratiques médicales conventionnelles et pas les autres, appelées communément médecines douces (comme celles de certains sophrologues, psychologues ou autres chirurgies « naturelles » de reconstruction mentale et physique)? La médecine douce, encore une terme fourre-tout où l'on peut y mettre ce que l'on veut. Au fait, Pourquoi dit-on médecine douce? En opposition aux médecines puissantes? Une manière de légitimer ces dernières? Dans ce contexte, on fait passer le qi gong, la sophrologie, le magnétisme, la naturopathie, l'acupuncture et consorts pour des grigris exotiques de hipsters. Et ça fonctionne ! En effet, jamais nous n’avons consommé autant de ces petites « pilules » préconisées par ceux qui nous veulent du bien. Il fallait bien ajouter un peu d 'ARNm Messager dans la mixture pour finir de nous achever.
Dans un pays gangrené par la surconsommation d'anxiolitiques au niveau mondial, saupoudré de conflits d'intérêts avec les laboratoires et autres lobbys pharmaceutiques, la France est le terreau idéal pour ces derniers. Ceux-ci voient notre population comme une zone de test idéale pour leurs expérimentations médicamenteuses et vaccinatoires malsaines. Le phénomène C.O.V.I.D. a servi de prétexte (comme pour les autres pays du monde d'ailleurs) à la surenchère perverse d'une situation médicale globale visant à voir l'être humain comme un sujet d'étude pour optimiser les effets de leurs molécules et autres fléchettes. Mais cette pandémie a au moins été révélatrice de ces pratiques. les chiffres apparaissent de plus en plus et ils sont édifiants. Bientôt, le joker du complotisme ne sera plus suffisant pour épingler ceux qui recherchent simplement la vérité. L'humanité se réveille (d'une gueule de bois certes, mais elle se réveille). Peut-être un début de prise de conscience collectif du mirage dans lequel nous vivons. Dans un pays où l'on pratique une surenchère de la médecine chimique, il est paradoxal que l'hôpital public et son manque de moyens et d'effectifs soit dans un tel niveau de délabrement. A quand la prochaine étape? Quand les mesures liberticides des uns s'associent à l'appat du gain des autres, il est de notre droit à tous de dénoncer ces pratiques insidieuses.


Vous Reprendrez bien une troisième dose ?
Vous avez dit "Syndrome de la blouse blanche" ?
De plus (et comme si celà ne suffisait pas), cette vaccination, en plus d'être dangereuse (les effets secondaires graves et nombreux ne sont plus un mythe), impacterait également ceux qui n'ont pas joué aux "fléchettes (a.ka. les non vaccinés). Autant la composition des vaccins classiques ne se transmet pas d'un individu à l'autre, il pourrait en être autrement pour ceux du C.O.V.I.D labellisés "ARNm Messager". Avec cette éventualité, ce protocole commence à montrer son effet fourbe. Ce qui me paraissait être de l'odre de la science-fiction il y'a encore quelques années pourrait se révèler être un scandale de grande envergure qui va au delà de tout ce que j'ai pu imaginer. Mais finalement, tout tombe sous le sens. En choisissant de museler (encore une fois) une écrasante majorité de la population à coup d'interdictions et de chantage éhonté, on atteint plus facilement les 80% de vaccinés. C'est ce qui permet indirectement d'atteindre les derniers récalcitrants par cette pratique. Au début, ce n'était qu'un embryon de théorie que je pensais impossible, mais mes dernières recherches à ce sujet m'ont fait découvrir une étude assez significative ( j'ai d'ailleurs joint dans les sources de cet article l'étude du H.A.L., branche du C.N.R.S). Je me laisse malgré tout la possibilité de douter de celle-ci. Mon but n'est pas de présenter cette source comme argent comptant. Cependant, la crédibilité de cette dernière au vu du travail d'investigation et de recherche qui a été fourni me paraissait suffisamment crédible pour être mentionnée. En tout cas, plus crédible que certains narratifs que l'on nous sert depuis quatre ans. Le problème réside peut-être dans cet état de fait. A force de se faire "dicter" notre conduite par des pseudos ayatollas de la vérité n'ayant pour laquais que des diplômés en propagande médiatique, je me sens obligé moi aussi d'énoncer les informations que j'ai pu glaner ici ou là (tant que ces sources ont un minimum de consistance, le but n'étant pas de surenchérir avec des informations douteuses).La science c'est aussi douter, s'interroger. Débattre! Un débat vérouillé depuis bien trop d'années. La croyance a pris le pas sur cette même science, nous faisant retourner au moyen-âge. En ce qui concerne l'information principale de cette étude résumée très brièvement : il pourrait être établi que les personnes vaccinées par la technologie ARNn auraient la capacité d' excréter (transmettre) cette souche chez les non-vaccinés indirectement et de différentes façons. Beaucoup de cas de personnes non vaccinées présentant parfois des effets secondaires identiques aux personnes injectées sont référencés, alors que ces derniers n'ont pas reçu ladite injection. Mon but n'est pas de sombrer dans le catastrophisme, mais les conclusions sont troublantes. Pendant ce temps là, nos élites, fervants defenseurs des Pfizer (l'entreprise la plus condamnée du monde) et autres Moderna devraient revoir leurs copies (Coucou Madame Von Der Leyen, coucou les supposés médecins de Plateau...). N'oublions pas non plus L'O.M.S. (organisation mondiale de la santé) dont le rôle est prépondérant dans cette mascarade. L'O.M.S. qui nous prépare d'ailleurs une belle fourberie pour le mois de mai (cette surprise est mise en lumière dans la dernière source publiée à la fin de cet article).Condamner et conspuer des généticiens et autres spécialistes en les placardant est une technique qui a pu faire illusion (pendant un temps), cependant, les informations contradictoires sérieuses arrivent et contestent de plus en plus la doctrine initiale. De plus, il est à noter que ce vaccin Anti-Covid ne protège ni de la contamination, ni de la transmission On l'a bien vu autour de nous. Il n'est nul besoin de citer des sources pour étayer cet état de fait. Pourtant n'est-ce pas le but primaire d'une injection de ce type? Quoiqu'on en dise, avec le recul et le constat qu'on peut faire sur le terrain, c'est donc par des mensonges éhontés du style "tous vaccinés, tous protégés" qu'on nourrit notre culpabilité depuis quatre ans. Une illustration grandeur nature de cette manipulation relayée par les médias, les institutions et le système de santé. La réalité des choses nous montre a quel point tous ces discours sont désormais balayés et achèvent le peu de crédibilité qu'il restait encore en faveur de cette vaccination. Alors, oui! Il leur reste encore le totem des formes graves. Mais au vu des effets secondaires recensés (Même Pfizer commence à les avouer dans des documents plus ou moins confidentiels, n'en déplaise à la plupart des journaux nationaux qui cherchent à décrédibiliser ceux qui mentionnent ces documents, les etiquetant "une fois de plus" d'antivax) , pas sûr que le facteur bénéfice-risque de cette supercherie ne tienne debout bien longtemps. Combien de temps encore allons nous accepter cette tromperie au rayonnement mondial? Soumis a un système de gouvernance corrompu jusqu'à la moelle, combien de temps encore va-t-on nous parler de désinformation, leçon de morale hypocrite venant de personnes ayant participé à cette immonde ignominie et qui ont directement ou indirectement du sang sur les mains.
